Antoine Dubruel présente, jusqu’au 26 septembre, son exposition Memento Pictura, à l’espace Culture . Le peintre qui vit entre Millau et son atelier des Gorges du Tarn, dévoile une série de toiles inédites, aux multiples influences. « Je m’inspire de ce que j’observe au quotidien, aussi bien ici que lorsque
Il y a deux feux d’artifices incontournables à Sète : le point d’orgue de la St Louis et la saison des festivals de cette ville qui compte le plus grand nombre d’artistes en fonction de son nombre d’habitants. Parmi cette myriade d’évènements, privilégié serait celui qui n’aurait pas à opérer
Le centre européen présente sa première exposition de la saison 2017 au centre culturel de Conques. Le centre européen de Conques propose de découvrir l’exposition « Temps suspendu » d’Antoine Dubruel.Composée d’huiles sur toile et d’encres de Chine, les œuvres d’Antoine Dubruel se caractérisent par la force des couleurs et la luminosité
Le centre européen organisera une exposition intitulée « Temps suspendu », dans les locaux du Centre Culturel de Conques-en-Rouergue (bâtiment sous la mairie).L’exposition est composée d’huiles sur toile et d’encres de Chine d’Antoine Dubruel.Le vernissage aura lieu vendredi 28 avril, à 18h30 avec des lectures de textes par la comédienne
« Une permanence de style, une exploration abyssale des paysages et au delà. Une extraordinaire maîtrise de la profondeur ». mai 2017 Patrice Lemoux, Directeur des Amis du Musée Soulages – RODEZ
EXPO SETE Antoine Dubruel à la Chapelle des Pénitents « La nourriture est perpétuelle tandis que la vision, elle, se fait soudaine ». Après, c’est telle une composition musicale qui lentement se dessine, non sans quelques ratures certes, pas dans l’acte précise Antoine Dubruel mais, dans la tête de l’artiste. Voici venu
Exposition Encres de Chine, Huiles sur toile § Dessins Travaillant à ses débuts il y a une dizaine d’années au cœur du Lauragais, Antoine Dubruel se détourne de sa carrière de Droit pour embrasser des études d’Art plus proches de ses aspirations. Il développe d’abord son œuvre dans le secret
Ce matin je lisais quelques textes de Philippe Jaccottet. Ce début de poème du recueil. A La lumière d’hiver :« Ecoute, vois : ne monte-t-il pas quelque chose de la terre, de beaucoup plus bas ; comme une lumière, par vagues, comme un Lazare … », me fit penser à
Ce qui me frappe c’est que la nature que le peintre met en scène est particulièrement vivante, primitive, comme si la vision retrouvait la mémoire d’un temps géologique primaire. Mais, signe des temps peut-être, le spectateur peut avoir le sentiment que ces réminiscences pourraient tout aussi bien refléter un avenir